LA FRANCE S'EST CONSTRUITE AUTOUR DE L'ABONDANCE DE L'EAU.

QUE SE PASSERA-T-IL SI CETTE ABONDANCE EST REMISE EN CAUSE DURABLEMENT PAR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES ?

 

15 août 2022.

 

Il est temps en effet, plus que temps même que la pluie revienne en EUROPE. La météo a promis qu'elle reviendrait la pluie, alors gardons espoir.
Donc il n'y a pas de surprise, tout va revenir dans l'ordre.
Pour le moment, en France, malgré cette canicule et la sécheresse qui l'accompagne, il n'y a pas que des inconvénients dans la vie quotidienne. Le climat sec et chaud est tout de même plus agréable que le temps humide et froid.

Mais tout de même, faut-il se réjouir trop vite de ce retour de la pluie et penser que le pays est sorti du tunnel ? C'est à voir !
Il se pourrait en effet que je sois classé par beaucoup de mes compatriotes internautes qui me lisent comme un lanceur d'alarme obcessionnel dont le but est de générer une peur irrationnelle parmi mes semblables à partir de phénomènes climatiques interprétés abusivment non comme exceptionnels et conjoncturels mais domme des processus naturel de réponse à une occupation des sols par une humanité devient oppresante pour la planète? Des phénomènes climatiques dont les existences imputées exclusivement à l'Homme.
Eh bien ils ont raison.
C'est tout le contraire de la mission que se donnent certains sites internet de ne produire que des thèses rassurantes pour l'Homme et de contrer tous les signaux d'alerte lancés. Alors que cet Homme, justement devrait s'inquiéter davantage de toutes ces catastrophes climatiques qui déboulent sur sa tronche en ce moment.

Cette fois-ci je vais faire une analyse de cette situation caniculaire spéciale que connai la France et l'Europe, en tant que citoyen français, à partir d'une analyse publiée par le blog "CITOYENS et FRANÇAIS" comme l'illustre cette image de capture d'écran.

VOICI :

 

Alors pour faire une analyse rationnelle de cette situation canicumaire je vais me servir des excellents travaux d'un blog, non pas pour les critiquer, car ce blog publie un travail remarquable; mais pour l'amplifier. Je vous propose donc en lecture quelques extraits, isolés mais qui cependant et bien que sortis du contexte général de la publication initiale gardent tous leurs sens.

 

 

==>La sécheresse actuelle, touchant la quasi-totalité du territoire français, succédant à des sécheresses de plus faibles ampleur survenues en divers endroits en 2018, 2019 et 2020, provoque des réactions alarmistes selon lesquelles ces événements météorologiques seraient sans précédent et seraient la preuve d’une avancée vers l’abîme climatique. Mais est-ce exact?

UN peu plus loin.

==>Sanson et Parcé notent que ces années furent le siège de récoltes agricoles en forte baisse, mais, compte tenu du contexte de guerre jusqu’en 1945, ils refusent fort justement d’en attribuer la cause uniquement aux seuls aléas météorologiques. Ils notent aussi que la production hydroélectrique fut divisée par 3,5 par rapport aux normales d’avant guerre sur la période 1948-1949, et que plusieurs réservoirs de barrages hydroélectriques étaient à sec, entraînant des coupures de courant

Un peu plus loin...

==>Les sécheresses d’hier ne sont pas celles d’aujourd’hui, lesquelles ne seront pas celles de demain. En effet, les conditions influant sur la perception de la sécheresse ont changé. En 1948, notre population n’était que de 42 millions d’habitants, et beaucoup de foyers ruraux n’étaient alors pas raccordés à l’eau potable. Les prélèvements pour l’eau potable, tant pour les ménages que pour la production d’électricité ou toutes les activités économiques, ont été multipliés par 3 entre 1955 et 1985

Un peu plus loin...

==>Conclusion

• Il apparaît donc que ni la sécheresse de 2022 ni la succession d’épisodes secs depuis 2018 ne sont sans précédent, et que la période comprise entre 1942 et 1949 a été hydrauliquement plus dure que l’actuelle.
• Mais l’évolution de nos modes de vie modifie le seuil d’occurrence d’un risque de pénurie. Naturellement, la série actuelle de sécheresses est en cours, et il est encore trop tôt pour conclure quoi que ce soit quant à l’évolution à long terme de notre climat, mais à l’évidence, crier à l’apocalypse climatique et à la fin de l’eau en France est prématuré et non constructif.

Mais le plus important réside dans cette conclusion que entre en contradiction avec le message rassurant programmé

==>La meilleure façon de lutter contre les effets des sécheresses réside dans la poursuite de nos efforts technologiques (désalinisation, recyclage, efficacité hydraulique industrielle et agricole) pour réduire nos prélèvements sur la ressource fluviale et souterraine.

TOUJOURS RASSURER LES GENS EN LES REPOSITIONNANT DANS UN CONTEXTE HISTORIQUE QUI PROUVE QUE LES CATASTROPHES CLIMATIQUES EXISTENT DEPUIS LA NUIT DES TEMPS.

Si j'ai décidé de reprendre personnellement cette étude remarquable de ce blog et de retravailler dessus d'en faire une page sur mon site, c'est que la situation climatique de canicule et de sécheresse de cet été en EUROPE est totalement inédite et selon moi présente un caractère gravissime caché qu'il faut dévoiler. Ce qui a motivé ma réaction c'est que d'une part il se trouve que j'ai eu connaissance de cette étude par le biais du réseau social russe VK (le seul réseau que je fréquente depuis que j'ai décidé de quitter défintivement FaceBook pour des raisons de censure injustifiée sur un de mes nombreux posts depuis 20 ans) d'une part c'est qu'il y a urgence de partager les convictions que j'ai dégagé de mes analyses et que je prêche pour le retour à un État providence indépendant et souverain comme principe de survie du peuple français,et d'autre part c'est parce que je suis évidemment souvent interloqué, quelque fois indigné, mais pas trop, par le parti pri de certains auteurs et intellectuels de contrer les prédictions sinistres des lanceurs d'alerte dans mon genre, dans le seul but de rassurer des populations, éviter les mouvements de désespoirs dans une population âgée qui se trouve en ce moment en désarroi social et économique ayant conscience que les faits et les crises, le remplacement de population en cours, puis désormais les déréglements climatiques leur donnent des signes évidents que l'avenir qu'ils laissent à leurs sera bien pire que la vie qu'ils ont eu.
Et heureusement que j'ai pris la peine de bousculer mon a priori de départ et de parcourir le texte jusqu'à sa conclusion, qui se retrouve évidemment en phase avec ma conviction: Il est dangereux de tirer des conclusions hâtives à partir de données climatologiques anciennes, car entre temps les contectes généraux ont grandement changé. Le pays s'est lourdement industrialisé et sa population a changé.

Il est évident que les Européens ont bâti leurs sociétés sur un élément spécifique au climat européen, celui de l'ABONDANCE DE L'EAU DOUCE.
Or selon ma conviction de lanceur d'alerte réaliste il se peut que les réccents incidents climatiques qui bouleversent le déroulement de la vie en Europe sont des signes de changements bien plus globaux que de simples changements climatique. Voilà pourquoi je suis convaincu qu'il est important que chaque citoyen en fasse une analysep personnelle apropriée et qu'il se prépare à s'adapter à ces changements ne serait-ce que pour y survivre.

C'est enfin dit et avoué dans cette conclusion. Le changement climatique met fin à une période d'eau douce abondante en Europe et donc en France.

Le devoir revient donc à tous les auteurs de publications sur des sites internet ou des blogs de convaincre leurs comtemporains que le cycle de l'eau abondante et de la vie facile et insouciante vient de se fermer et que le temps de la responsabilité pour les populations de s'adapter aux circonstances existentes et au changement climatique devient entière.

De toutes les façons, en ce moment, il ne reste plus à espérer que les pluies reviendront arrosés les territoires européens touchés par la canicule mais aussi qu'elles soient aussi denses et aussi durable que ne l'a été aride et torride la période de canicule qui s'est abattue sur le pays cet été.

Savoir évaluer rationnellement une situation suffisamment à temps pour réagir efficacement.

Car pour le moment les équilibres établis entre les prélèvements d'eau potable pour assurer les besoins quotidiens les populations en Europe et le renouvellement régulier des ressources phréatiques dans un climat où les pluies ne sont plus abondantes comme autrefois, dans un passé récent, devront être revus à la baisse. Et puisque nous constatons que le changement climatique est survenu brutalement (selon un temps géologique) les habitudes dans leurs consommations en eau potable domestique des populations euopéennes devront aussi changer tout aussi abruptement.

Et il n'y a pas que cela.

Les prélévements des industries agroalimentaires en eau naturelle devront tout autant revus par une réduction brutale. Ce qui est grave, car il s'en suivra nécessairement une baisse des production en produits alimentaires. C'est à dire une baisse sérieuse de l'offre par de ces produits alimentaires rapport à la demande. Et dès lors, les populations européennes auront à lutter contre une inflation structuelle des prix durable qui aura de planger les couches laborieuses dans des difficultés énormes pour survivre. Renè DUMONT avait raison en 1974. Tout autant qu'Yves COUSTEAU. Mais ils n'ont pas été entendus aussi bien que par les peuples que leurs dirigeants politiques qui avaient foi dans l'économie de marché croissante et indéfinie.

Il reste aussi à considérer que le bon fonctionnement des centrales nucléaires (indispensables pour produire l'énergie électrique en masse régulière) exige une abondance d'eau dans les fleuves et les grandes rivière où elle ont été bâties. Celles qui sont bâties au bord de la mer; il n'y a pas de problème. Mais pour les autres, toute sécheresse sévère peut générer des problématiques durables.

EN GUISE DE CONCLUSION :

La Nature vient de donner un sérieux avertissement aux pays qui ont bâti leurs sociétés sur l'eau. Il faut espérer que les dirigeants et les politiciens en auront pris conscience et ne considèrent plus la répétition des canicules comme un épiphénomène.

N'est-ce pas?

D'autant que les météorologues se posent cette problématique angoissante : Après la canicule et la sécheresse de cet été, l'automne pourrait être, lui aussi, extrêmement déréglé et de ce fait pourrait très bien ne pas donner de répis aux populations, en particulier si la pluviométrie en automne reste trop faible en intensité et pas assez soutenue dans le temps pour expérer que les nappes phréatiques se rechargent et retrouvent leurs niveaux des temps anciens. Ils craignent des orages plus calamiteux que salvateurs, des pluies de grêlons destructrises des toits,

"On se rappelle ces épisodes cévenols : pourquoi l'automne pourrait être marqué par des inondations et de fortes précipitations catastrophiques qui ne participeront pas du fait du ruissellement aggravé par la bétonnisation du territoire, à la régénération des nappes phréatiques durement éprouvées par la sécheresse très sévère de cet été ?

La France est un pays qui s'est développé sur une caractéristique de son climat tempéré qui est l'abondance de l'eau douce disponible pour l'homme en quantité illimitée et renouvelée. Son économie s'est organisée sur cette abondance de l'eau. Pourtant, depuis la première sécheresse de 1976, les Français auraient dû commence à comprendre que cette abondance de l'eau pouvait être remise en question pas des changements climatique qui deviennent récurrents. Et en effet, le pouvoir politique a eu assez d'intelligence d'en tenir compte et a pris des mesures afin de protéger la continuité de son économie durant ces périodes estivales.

Force est donc de constater que depuis ce réchaiffement climatique que connait notre planète, il se pourrait que pour les pays de l'Europe de l'ouest, cette abondance d'eau douce sur laquelle ils se sont développés appartienne au passé et dès lors, il appartient dès maintenant au dirigeants politiques et leurs populations dans un premier temps d'en prendre acte et ainsi de changer leurs modes de vies, d'organiser l'économie autrement.

 

Réorganiser la société pour seulement éviter le pire, s'habituer à vivre avec une production discontinue de courant. Je me demande si les gens ont conscience de ce qu'il se passe en ce moment dans le monde.

21/08/2022

Voici une information parue ce matin dans la presse et sur internet que je présente en raccourci dans l'image ci-dessous. Il se trouve donc que la sécheresse sévit aussi en CHINE, ce qui contraindra les dirigeants à exercer des coupures de courant afin de soulager les centrales de production d'électricité; que celles-ci soient nucléaires ou thermiques devant faire face à de graves difficultés à réfrigérer les condenseurs des circuits de vapeur des turbines du fait de manque d'eai dans les cours d'eau.

Ce sont évidemment, les centrales construites sur des sites fragiles à la sécheress comme les fleuves et le rivières? Les centrales construites sur les côtes ne pâtiront pas du manque d'eau, évidemment. Mais il n'empêche que les centrales électriques produisent du courant aussi bien en Europe qu'en Chine ou ailleurs, sous flux tendu. Si certaines centrales de production faillissent dans la production de courant, il s'en suivra obligatoirement des déagrément dans la vie quotienne des populations habituées à de producution massives, fiables et continues de courant.

Et malheureusement, pour le moment, en France, il me semble que les gens ne comprennent pas encore toutes les répecussions graves dans leur vie quotidienne qu'aura cette sécheresse de 2022, inédite et longue, qui n'est pas encore terminée.